À lire dans notre revue « Jour de Fête » en octobre prochain

À Saint-Bonnet-le-Froid, petit bourg peuplé de 250 âmes et posé à 1100 m d’altitude, le célèbre chef Régis Marcon a repris la cantine de l’école où il prépare depuis deux ans une vingtaine de repas quotidiens. Derrière l’anecdote, c’est toute une aventure alimentaire qui rassemble la population et nourrit le territoire, avec plus de 150 emplois à la clé.

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Nous avons pris le frais la semaine dernière dans un petit village perché au-dessus du Velay et du Vivarais, à la limite de la Haute-Loire et de l’Ardèche. À Saint-Bonnet-le-Froid, voire très froid en hiver, c’est chaleur humaine toute l’année. Pour seulement 250 habitants, Saint-Bonnet compte 34 commerces et artisans, avec plus de 150 salariés. Il y a bien sûr les maisons Marcon, qui incluent la boulangerie, le bar de pays, des hôtels, un bistrot, un spa et le fameux restaurant « Régis et Jacques Marcon », trois étoiles au Michelin depuis 2005. Il y a aussi, depuis deux ans, la révolution de la cantine scolaire. Fini le service de livraison de repas froids deux fois par semaine par une cuisine centrale éloignée. Depuis 2020, c’est aussi la brigade du chef Marcon qui régale la vingtaine d’enfants de l’école. Bref, on ne va pas tout vous dévoiler maintenant, c’était juste histoire de vous donner l’eau à la bouche. Et en attendant de lire notre article dans le prochain « Jour de Fête », parution en octobre 2022, voici quelques photos de notre escapade. À bientôt !